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Avis Assassin's Creed Brotherhood, le test de Gamoniac
Avis Assassin's Creed Brotherhood, le test de Gamoniac
Assassin's Creed Brotherhood sur PS3 à 9,99€
Assassin's Creed Brotherhood sur Xbox 360 à 9,99€
Fort du succès d'Assassin's Creed II en 2009, Ubisoft avait décidé de ne pas trop attendre et de sortir un nouvel opus dès l'année suivante. Assassin's Creed Brotherhood est donc sorti cette année et se présente comme un épisode spin-off, l'épisode 3 étant annoncé officiellement pour l'année prochaine, et prolonge l'histoire d'Ezio dans l'Italie de la Renaissance.
Brotherhood commence là où se finissait AC II. Rapide topo : Ezio réussit à vaincre le pape Borgia, achève sa quête en récupérant la pomme d'Eden et fait la rencontre de Minerve, entité mystérieuse qui lui fit quelques révélations troublantes. Ça, c'est pour la situation initiale mais brotherhood vient tout chambouler dès le début. On découvre un nouvel ennemi en la personne de Cesare Borgia, fils du défunt, encore plus tyrannique et déterminé à détruire l'ordre des assassins. L'aire de jeu évolue, puisque désormais tous se passera à Rome, ville gigantesque et fief de la famille Borgia.
Gameplay :
De ce coté là, aucun chamboulement majeur à signaler. Brotherhood reprend la mécanique d'assassin's creed 2 et vous pourrez toujours faire des cabrioles sur les toits et effectuer tous types d'escalade assez facilement. Coté combat, on sent que le système a évolué vers des combats légèrement plus nerveux mais le combo parade-attaque reste toujours le plus efficace. L'attirail s'étoffe et permet d'orienter ses achats en fonction de son style de jeu. Même si on est très peu surpris le jeu est agréable à manier. Coté game-design, Rome représente un très large espace de jeu dans laquelle on retrouve quelques bonnes idées héritées d'AC II, comme le fait de pouvoir débloquer magasins, banques, tailleurs comme on pouvait le faire à Monteriggioni auparavant. Pour cela il faudra débloquer les quartiers en brûlant les tours Borgia qui sont également les fameuses tours d'observation. Autre apport de qualité est la gestion de sa guilde. En effet, il devient possible pour Ezio de recruter et de former ses assassins. On peut les envoyer en mission, faire appel à eux lors de nos combats et il faut reconnaître que cela s'avère très précieux lors de certaines missions. Bien sûr, cela s'apparente à un gadget car il n'est pas du tout nécessaire de s'en préoccuper pour avancer dans le jeu mais c'est une idée bienvenue que chacun exploitera selon ses envies.
Réalisation :
J'ai trouvé le jeu très fluide et beau. La ville très bien modélisée est très plaisante à traverser et les monuments connus sont fidèles aux originaux (le Colisée !!). À noter qu'il y a très peu de chargement ce qui permet de parcourir la ville aisément sans avoir à stopper sa progression toutes les 10 minutes. L'ambiance est prenante et on prend du plaisir à évoluer dans cette environnement d'autant que le contenu du jeu est assez riche. La campagne principale s'avère plutôt courte mais c'est à coté qu'il faut regarder. Si vous prenez le temps de faire l'ensemble des missions secondaires alors le jeu dévoile tout son potentiel et vous donnera pas mal de challenge.
Multi :
C'est sans doute l'atout principal du jeu car Ubisoft a beaucoup misé sur cette aspect en y apportant beaucoup d'attention. En effet, pas facile de créer un mode multi assez attrayant et équilibré avec ce type de gameplay. Pourtant, le pari est réussi et le multi offre les mêmes sensations que le solo. Un mix entre infiltration et combat, chacun y trouvera son compte et les parties présentent un réel challenge réparti dans 4 modes de jeu. Pour faire simple, il faut à chaque fois tuer sa cible sans se faire avoir par son prédateur. Les maps sont volontairement rempli de perso non joueur au comportement complètement aléatoire et utilisant les mêmes skins que les perso humains. Difficile donc de faire la différence et c'est sur ça que tout va se jouer.
Avis :
Un spin-off excellent en tout point. Une campagne solo très fournie et qui offre beaucoup de variété dans une ville de Rome très bien modélisée. Ajouté à ça un mode multi bien pensé qui ajoute beaucoup d'attrait au jeu et offre une suite parfaite à une campagne solo réussi. Assassin's Creed Brotherhood se place dans la continuité de la série et nous replonge avec plaisir dans la peau d'Ezio, en attendant l'épisode 3 l'année prochaine !
Assassin's Creed Brotherhood sur Xbox 360 à 9,99€
Fort du succès d'Assassin's Creed II en 2009, Ubisoft avait décidé de ne pas trop attendre et de sortir un nouvel opus dès l'année suivante. Assassin's Creed Brotherhood est donc sorti cette année et se présente comme un épisode spin-off, l'épisode 3 étant annoncé officiellement pour l'année prochaine, et prolonge l'histoire d'Ezio dans l'Italie de la Renaissance.
Brotherhood commence là où se finissait AC II. Rapide topo : Ezio réussit à vaincre le pape Borgia, achève sa quête en récupérant la pomme d'Eden et fait la rencontre de Minerve, entité mystérieuse qui lui fit quelques révélations troublantes. Ça, c'est pour la situation initiale mais brotherhood vient tout chambouler dès le début. On découvre un nouvel ennemi en la personne de Cesare Borgia, fils du défunt, encore plus tyrannique et déterminé à détruire l'ordre des assassins. L'aire de jeu évolue, puisque désormais tous se passera à Rome, ville gigantesque et fief de la famille Borgia.
Gameplay :
De ce coté là, aucun chamboulement majeur à signaler. Brotherhood reprend la mécanique d'assassin's creed 2 et vous pourrez toujours faire des cabrioles sur les toits et effectuer tous types d'escalade assez facilement. Coté combat, on sent que le système a évolué vers des combats légèrement plus nerveux mais le combo parade-attaque reste toujours le plus efficace. L'attirail s'étoffe et permet d'orienter ses achats en fonction de son style de jeu. Même si on est très peu surpris le jeu est agréable à manier. Coté game-design, Rome représente un très large espace de jeu dans laquelle on retrouve quelques bonnes idées héritées d'AC II, comme le fait de pouvoir débloquer magasins, banques, tailleurs comme on pouvait le faire à Monteriggioni auparavant. Pour cela il faudra débloquer les quartiers en brûlant les tours Borgia qui sont également les fameuses tours d'observation. Autre apport de qualité est la gestion de sa guilde. En effet, il devient possible pour Ezio de recruter et de former ses assassins. On peut les envoyer en mission, faire appel à eux lors de nos combats et il faut reconnaître que cela s'avère très précieux lors de certaines missions. Bien sûr, cela s'apparente à un gadget car il n'est pas du tout nécessaire de s'en préoccuper pour avancer dans le jeu mais c'est une idée bienvenue que chacun exploitera selon ses envies.
Réalisation :
J'ai trouvé le jeu très fluide et beau. La ville très bien modélisée est très plaisante à traverser et les monuments connus sont fidèles aux originaux (le Colisée !!). À noter qu'il y a très peu de chargement ce qui permet de parcourir la ville aisément sans avoir à stopper sa progression toutes les 10 minutes. L'ambiance est prenante et on prend du plaisir à évoluer dans cette environnement d'autant que le contenu du jeu est assez riche. La campagne principale s'avère plutôt courte mais c'est à coté qu'il faut regarder. Si vous prenez le temps de faire l'ensemble des missions secondaires alors le jeu dévoile tout son potentiel et vous donnera pas mal de challenge.
Multi :
C'est sans doute l'atout principal du jeu car Ubisoft a beaucoup misé sur cette aspect en y apportant beaucoup d'attention. En effet, pas facile de créer un mode multi assez attrayant et équilibré avec ce type de gameplay. Pourtant, le pari est réussi et le multi offre les mêmes sensations que le solo. Un mix entre infiltration et combat, chacun y trouvera son compte et les parties présentent un réel challenge réparti dans 4 modes de jeu. Pour faire simple, il faut à chaque fois tuer sa cible sans se faire avoir par son prédateur. Les maps sont volontairement rempli de perso non joueur au comportement complètement aléatoire et utilisant les mêmes skins que les perso humains. Difficile donc de faire la différence et c'est sur ça que tout va se jouer.
Avis :
Un spin-off excellent en tout point. Une campagne solo très fournie et qui offre beaucoup de variété dans une ville de Rome très bien modélisée. Ajouté à ça un mode multi bien pensé qui ajoute beaucoup d'attrait au jeu et offre une suite parfaite à une campagne solo réussi. Assassin's Creed Brotherhood se place dans la continuité de la série et nous replonge avec plaisir dans la peau d'Ezio, en attendant l'épisode 3 l'année prochaine !
- staff72
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